



Publié le
Lecture 5 mins
Le ballon, malgré tout…
X. FAVEREAU, G. DAMBRIN, A. JÉGOU, service de cardiologie interventionnelle, hôpital privé de Parly 2

Considérons nos chiffres de l’année 2008 : 67 % de stenting direct, 8 % d’angioplasties coronaires au ballon seul ; la cause est entendue : « balloon is dead and buried ! »
Pourquoi s’appesantir alors sur le composant ballon de l’angioplastie coronaire ? Dans le quadriptyque : cathéter guide, guide, stent, ballon, ce dernier est le maillon faible ; d’ailleurs, dans les conversations entre « interventionnels », le choix de celui-ci n’est quasiment pas matière à débat.
Pourtant, il faudrait se rappeler que l’angioplastie par ballonnet est la seule technique de revascularisation coronaire à pouvoir guérir la lésion abordée : la dissection contrôlée induite par l’inflation du ballon coronaire, puis le remodelage positif dans près de la moitié des cas rétablissent la...
Attention, pour des raisons réglementaires ce site est réservé aux professionnels de santé.
pour voir la suite, inscrivez-vous gratuitement.
Si vous êtes déjà inscrit,
connectez vous :
Si vous n'êtes pas encore inscrit au site,
inscrivez-vous gratuitement :
Articles sur le même thème
Pagination
- Page précédente
- Page 5