



La voie radiale expose-t-elle vraiment le patient et l’opérateur à des doses de rayons supérieures ?

Proposée depuis le début des années 1990, la voie artérielle radiale est devenue la voie d’abord prédominante en Europe et en France pour réaliser les coronarographies et les interventions coronaires percutanées (ICP). Ses avantages par rapport à la voie fémorale sont une immobilisation réduite du patient et une diminution du risque hémorragique au point de ponction.
La voie radiale vient d’entrer dans les recommandations de l’ESC 2012 pour les procédures réalisées en phase aiguë d’infarctus (classe IIa, niveau de preuve B), grâce à deux études, RIVAL et RIFLE STEACS, qui ont montré qu’elle est associée à une réduction de la morbi-mortalité. Cependant, pour beaucoup de cardiologues, la voie radiale reste associée à des doses de rayons X (RX) plus élevées, tant pour le patient que pour l’opérateur. Qu’en est-il réellement ?
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