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Comment stratifier le risque hémorragique d’un traitement anticoagulant ?
G. MOUBARAK, Hôpital Saint-Joseph, Paris

Le traitement anticoagulant, par anti-vitamine K (AVK) ou anticoagulants oraux directs (AOD), est une pièce maîtresse de la prise en charge des patients présentant une fibrillation atriale, que celle-ci soit paroxystique ou permanente. La contrepartie de la réduction du risque d’AVC/embolies systémiques est l’existence d’un risque hémorragique (augmentation des saignements majeurs de 0,3-0,5 %/an, augmentation des saignements intracrâniens de 0,2%/an) qu’il faut pouvoir estimer chez un patient donné.
Risque hémorragique sous AVK Différents facteurs cliniques sont associés à un sur-risque hémorragique, notamment l’âge avancé, une maladie rénale ou hépatique, une HTA mal contrôlée, un cancer. Les chutes sont souvent un motif de non-prescription d’un traitement anticoagulant. Il apparaît toutefois...
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