Aller au contenu principal
TwitterFacebookLinkedinPartager

Rythmologie et rythmo interventionnelle

Publié le  Lecture 9 mins

Pratique des activités physiques et sportives par les patients porteurs d’un défibrillateur cardiaque implanté

F. CARRÉ, Explorations fonctionnelles, CHU Pontchaillou, université Rennes-I, Rennes

Depuis leur première utilisation dans les années 1990, les défibrillateurs cardiaques implantés (DCI) ont largement fait la preuve de leur efficacité, et leurs indications n’ont cessé de croître que ce soit en prévention primaire ou secondaire. Leur apport majeur dans l’arsenal thérapeutique des arythmies potentiellement létales ne doit pas faire oublier la modification du mode de vie, donc l’éducation, que les DCI imposent aux patients(1). Ainsi, la qualité de vie est plus souvent altérée par le port d’un DCI que par celui d’un stimulateur cardiaque. Si anxiété et dépression dominent globalement chez ces patients, chez les adolescents les deux craintes principales sont le choc électrique et les restrictions de la pratique des activités ludiques, en particulier sportives(2,3,4).

La possibilité de pratiquer une activité physique et/ou sportive occupe une place importante dans la vie quotidienne (5). Cette question concerne, bien qu’en des termes différents, à la fois les patients porteurs d’une dysfonction ventriculaire et ceux porteurs d’une pathologie arythmogène avec...

Attention, pour des raisons réglementaires ce site est réservé aux professionnels de santé.

pour voir la suite, inscrivez-vous gratuitement.

Si vous êtes déjà inscrit,
connectez vous :

Si vous n'êtes pas encore inscrit au site,
inscrivez-vous gratuitement :