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Congrès et symposiums

Publié le  Lecture 4 mins

Au moins 70 % des hypertendus peuvent être contrôlés sous traitement à base d’olmésartan

M. DEKER

ESH

De tous les facteurs de risque de mortalité, l’hypertension artérielle (HTA) est sans doute le plus fréquent, mais aussi le plus accessible à un traitement. L’exemple canadien montre qu’il est possible de contrôler près de 70 % des hypertendus : les progrès accomplis de 1996 à 2006 (augmentation > 100 % des prescriptions d’antihypertenseurs et encore davantage des combinaisons fixes) se sont traduits par une diminution de la mortalité par IDM et par AVC (-16 % et -6 %, respectivement). L’Europe est loin d’atteindre de telles performances, avec un taux de contrôle de l’HTA < 50 %. En France, rappelons que l’objectif a été fixé pour 2015 à 70 % d’hypertendus traités et contrôlés selon une stratégie en 7 étapes, qui préconise notamment une combinaison fixe si l’HTA n’est pas suffisamment contrôlée en monothérapie et une trithérapie en cas d’échec de la bithérapie. 

Selon les recommandations ESH/ESC, le choix initial du traitement dépend des chiffres de pression artérielle (PA) et de l’estimation du risque cardiovasculaire. Pour une HTA modérée chez un patient à risque faible/modéré, tous les antihypertenseurs en monothérapie sont possibles ; en cas d’HTA...

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