



Rythmologie et rythmo interventionnelle
La fibrillation atriale en médecine d’urgence

La prévalence de la FA dans un service d’urgence (SU) varie entre 0,5 et 3,2 % selon les méthodes d’analyse pro- ou rétrospective, la population (urgences médicales strictes ou médico-traumatologiques) et les systèmes de santé(1-3). Cette prévalence augmente sensiblement depuis vingt ans(4,5), avec un pourcentage de formes récentes (< 48 heures) compris entre 20(3) et 50 %(1,6,7). La prise en charge en médecine d’urgence pose plusieurs problèmes : quel bilan initial et comment stratifier le risque hémodynamique ou thromboembolique ? Comment choisir et réaliser un traitement ralentisseur (contrôle de la fréquence) ou une cardioversion (contrôle du rythme) ? Faut-il initier, stopper ou modifier un traitement anticoagulant ? Comment réduire les hospitalisations des patients stables ? La Société française de médecine d’urgence (SFMU), en partenariat avec la Société française de cardiologie (SFC), a décidé d’adapter les recommandations de la Société européenne de cardiologie(8-11) aux situations rencontrées en médecine d’urgence hospitalière et préhospitalière(12).
Attention, pour des raisons réglementaires ce site est réservé aux professionnels de santé.
pour voir la suite, inscrivez-vous gratuitement.
Si vous êtes déjà inscrit,
connectez vous :
Si vous n'êtes pas encore inscrit au site,
inscrivez-vous gratuitement :
Articles sur le même thème
Pagination
- Page précédente
- Page 6
- Page suivante