



Adiponectine et risque cardiovasculaire : paradoxe ou paradigme

L’obésité et son cortège d’anomalies métaboliques associées sont étroitement liés à la pathogénie des maladies cardiovasculaires(1). Pour autant, les liens moléculaires précis entre obésité et maladies cardiovasculaires restent spéculatifs. Le tissu adipeux n’est pas seulement un « réservoir » énergétique, il a aussi un rôle de régulation de l’homéostasie. Il exerce une fonction autocrine, endocrine et paracrine en synthétisant et en sécrétant une large gamme de protéines appelées adipocytokines. Certaines sont pro- ou anti-inflammatoires, facteurs du complément, facteurs de croissance, protéines de signalisation modulant l’inflammation et le métabolisme et, à terme, la survenue d’atteintes cardiovasculaires(2).
Attention, pour des raisons réglementaires ce site est réservé aux professionnels de santé.
pour voir la suite, inscrivez-vous gratuitement.
Si vous êtes déjà inscrit,
connectez vous :
Si vous n'êtes pas encore inscrit au site,
inscrivez-vous gratuitement :
Articles sur le même thème
Pagination
- Page précédente
- Page 4
- Page suivante