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Cardiologie interventionnelle

Publié le  Lecture 7 mins

Quelle place pour le stent biorésorbable ?

Bernard CHEVALIER, Institut cardiovasculaire Paris-Sud, Massy

La résorption des dispositifs implantables est un concept ancien ; il était donc logique que l’on tente de l’appliquer aux endoprothèses coronaires. Le premier stent résorbable fut développé par Hideo Tamai en 1990 et le premier brevet US fut déposé en 1991. Depuis, l’évolution technologique a suivi celle des endoprothèses métalliques, devenant capable de délivrer in situ une drogue — un limus — capable d’inhiber la resténose. À bientôt 10 ans de la première implantation humaine d’un stent résorbable actif, la place de cet outil reste un sujet de débat.

Pourquoi une implantation permanente pour une fonction temporaire ? (figure 1) Le stent métallique inhibe la resténose en luttant mécaniquement contre le recul élastique, précoce, et le remodelage négatif, phénomène qui survient dans les 4 premiers mois suivant une angioplastie. La présence de ce...

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