



Diabète : quand le pied « parle »…

Publié en juillet 2017 dans un hebdomadaire français, le témoignage du Premier ministre, sur la gravité de la plaie de pied diabétique (PPD) et les conditions de la fin de vie de son père, est poignant : « Il a accepté qu’on lui coupe le doigt de pied et il a souffert ; puis il a accepté qu’on lui coupe le pied et il a souffert ; puis il fallait lui couper la jambe, car la gangrène s’installait et il a refusé et arrêté ses dialyses. Il était attaché à la vie et il savait qu’il allait mourir. Il a affronté la mort avec angoisse et courage vis-àvis de ses proches et vis-à-vis de lui-même ». Le récit est simple. Il « dit » beaucoup. Une PPD est une catastrophe pour tout le monde. Pour le patient, pour la famille, pour la société.
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