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Explorations-Imagerie

Publié le  Lecture 4 mins

Place de l’IRM dans l’insuffisance aortique

Mathieu POUPINEAU et coll.*, ICPS, Hôpital Claude Galien, Quincy-sous-Sénart

Le diagnostic et la quantification de l’insuffisance aortique reposent sur une approche multiparamétrique en échocardiographie. Chacun de ces paramètres connaît cependant de nombreuses limites. La mesure de la vena contracta et du rayon de la PISA nécessite une visualisation appropriée de la zone de convergence et se révèle délicate en cas de jet excentré. La PHT est un reflet du gradient de pression VG-aorte et est influencée par l’élévation des pressions de remplissage ventriculaires gauches, quel que soit le degré de régurgitation aortique. La vitesse télédiastolique dans l’aorte descendante dépend également du degré de compliance de l’aorte. Enfin, la mesure du débit transaortique est naturellement fonction de nombreux cofacteurs. Ainsi, dans le travail de Messika-Zeitoun(1), à l’exception de la vena contracta, l’ensemble de ces paramètres souffre d’un manque de sensibilité.

L’extension spatiale en IRM ne permet pas la quantification de la régurgitation. En revanche, l’imagerie en contraste de phase permet une analyse des flux et ainsi du débit transaortique, du volume régurgité et de la fraction de régurgitation. Dans le travail de Myerson (2), une fraction de...

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