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Insuffisance cardiaque : faut-il y aller par quatre chemins ?
Michèle DEKER, Neuilly
L’insuffisance cardiaque reste une maladie très grave avec une survie au diagnostic plus courte que celle de nombreux cancers. La gravité de la maladie augmente avec les hospitalisations, tout particulièrement au décours d’hospitalisation, d’où la nécessité d’une prise en charge agressive à cette période. Les comorbidités sont fréquentes et majorent la gravité du pronostic. L’arsenal thérapeutique s’est notablement enrichi grâce aux iSGLT2 qui sont aujourd’hui positionnés en première ligne.
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