



Les bêtabloquants en préopératoire ? Oui ou non, pour qui et comment ?

Au décours de la chirurgie, les infarctus du myocarde sont une complication classique et fréquente. En fonction des séries, leur prévalence est retrouvée entre 1 et 6 % au cours de la chirurgie non vasculaire, et jusqu’à 30 % au cours de la chirurgie vasculaire majeure. Les recommandations de l’ACC-AHA et de l’ESC publiées en 2009, ont pour objectif chez les patients devant bénéficier d’une chirurgie non cardiaque d’optimiser leur prise en charge. Cette dernière est basée sur l’évaluation du risque relatif au type d’intervention chirurgicale d’une part (tableau 1) et aux facteurs liés au patient d’autre part.
Attention, pour des raisons réglementaires ce site est réservé aux professionnels de santé.
pour voir la suite, inscrivez-vous gratuitement.
Si vous êtes déjà inscrit,
connectez vous :
Si vous n'êtes pas encore inscrit au site,
inscrivez-vous gratuitement :
Articles sur le même thème
Pagination
- Page précédente
- Page 7
- Page suivante