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ASCOT-BPLA : une réponse à la notion de risque résiduel dans l’hypertension ?
E. MILLARA, Suresnes

Lorsqu’au milieu des années 2000, J. Blacher et son équipe mettent en évidence la notion de « risque résiduel » avec les résultats à 5 ans de l’étude PRIME, ils rencontrent un certain scepticisme(1). Cinq ans plus tard, le suivi à 10 ans de PRIME(2), ainsi que d’autres travaux confirment avec une puissance et une robustesse incontestables l’observation suivante : à pression artérielle comparable, les patients hypertendus traités sont davantage exposés au risque cardiovasculaire que des sujets normotendus.
Autrement dit, après ajustement sur tous les facteurs de risque y compris le mode de vie, l’alimentation, et la PA systolique (NB : l’ajustement est une méthode statistique permettant de neutraliser l’impact des facteurs associés), le contrôle des chiffres tensionnels chez l’hypertendu ne permet pas...
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