



HDL-cholestérol, l’oublié du risque cardiovasculaire

Journées européennes de la SFC (I)
Depuis les études de Framingham et PROCAM, nous savons que les concentrations plasmatiques des particules HDL circulantes, qui varient par la taille, la densité, la forme, la surface et le contenu en apolipoprotéines, sont inversement corrélées au risque cardiovasculaire, avec un effet-dose, et que les HDL bas et les LDL élevés ont un effet complémentaire sur ce risque. Encore aujourd’hui, les études de risque sont dominées par la recherche d’un abaissement du LDL-C et par les statines. Toutefois, chez les patients dont les taux de LDL sont normalisés, le HDL continue d’influer sur le pronostic cardiovasculaire. La prévalence des HDL bas (< 0,40 g/l chez l’homme, < 0,50 g/l chez la femme) est assez élevée en population générale (environ 40 % en France) et chez les patients à haut risque. D’où la recherche d’approches thérapeutiques visant à agir sur le HDL, dont il faudra valider le bénéfice sur le plan cardiovasculaire.
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