



Anticalciques et maladies coronaires - État des lieux avant les résultats de deux « grandes » études

Les anticalciques font partie intégrante du traitement médicamenteux de la maladie coronaire depuis maintenant plus d’un quart de siècle. La démonstration, la compréhension des mécanismes et la caractérisation fine de leur effet antiangineux et anti-ischémique a été faite depuis longtemps. Les dihydropyridines de dernière génération ont maintenant 10 ans et permettent d’assurer une vasodilatation plus progressive, n’entraînant guère d’activation sympathique réflexe. L’étude ALLHAT a clos la polémique sur l’hypothétique danger des anticalciques en établissant la sécurité d’emploi de l’amlodipine. Nous faisons ici le point sur l’utilisation de cette classe chez le coronarien.
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