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HTA

Publié le  Lecture 5 mins

Au-delà du contrôle de la pression artérielle : la protection cérébrale avec l'éprosartan

M. JOBBÉ DUVAL, Neuilly-sur-Seine

ESC

Les AVC sont la troisième cause de décès dans les pays développés après les infarctus et les cancers. L’HTA en est la grande responsable puisqu’elle multiplie le risque de tous types d’AVC par un facteur de 4 à 10, que ce soit les AVC ischémiques, hémorragiques ou les hémorragies sous-arachnoïdiennes.
En prévention primaire, le traitement de l’HTA permet de diminuer ce risque de 30 à 4 %, selon les études et la molécule considérée. Les études comparatives n’avaient pas montré de bénéfice net d’une molécule comparativement à une autre jusqu’à que l’étude LIFE ait mis en évidence la supériorité du losartan vis-à-vis d’un bêtabloquant, alors même que la baisse des chiffres tensionnels était équivalente dans les deux bras de l’étude.

L’étude MOSES Les antagonistes de l’angiotensine II (ARA II) sont considérés aujourd’hui comme des médicaments efficaces dans le traitement de l’HTA avec, comme corollaire non négligeable, ainsi que le souligne F. Messerli (USA), coprésident de ce symposium, une tolérance comparable à celle du...

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