



Dyslipidémie bien traitée - Peut-on prescrire « la pilule » ?

Les anomalies lipidiques sont fréquentes et potentiellement athérogènes. En France, on compte 6 millions de dyslipidémies traitées. Les contraceptifs hormonaux modifient le bilan lipidique et peuvent déséquilibrer une hyperlipidémie traitée. Les oestroprogestatifs ont surtout un effet marqué sur le risque de thromboses veineuse et artérielle. Leur prescription nécessite une surveillance du bilan lipidique et doit être adaptée en fonction du profil de risque de la patiente en particulier le risque thrombogène. Il n’y a pas de contre-indication absolue à une contraception hormonale chez la patiente hyperlipidémique dont l’anomalie est corrigée par le traitement.
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