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Rythmologie et rythmo interventionnelle

Publié le  Lecture 10 mins

Facteurs de risque de mort subite

X. JOUVEN, hôpital européen Georges Pompidou et l’équipe INSERM AVENIR d’épidémiologie de la mort subite

La mort subite représente environ 30 à 50 000 décès par an en France. Certaines formes spécifiques de cardiomyopathies et de syndromes sont associés à un risque élevé de mort subite comme les syndromes du QT long ou de Brugada, la cardiomyopathie hypertrophique, la dysplasie ventriculaire droite arythmogène, et certaines cardiomyopathies dilatées.
On connaît, pour chacune de ces pathologies, certains facteurs de risque spécifiques de mort subite. Pourtant, pour la pathologie associée à la mort subite la plus fréquente (> 80 %) – l’atteinte ischémique myocardique – il est difficile de différencier les facteurs de risque de développement de l’athérome d’une susceptibilité particulière pour les troubles du rythme ventriculaire.
En outre, dans plus de 50 % des cas détectés, les sujets étaient asymptomatiques. Il est donc particulièrement important de pouvoir détecter précocement les sujets à risque.

Plusieurs équipes de re-cherche travaillent dans cette direction, et des facteurs de risque plus spécifiques de mort subite ont récemment été identifiés : • des antécédents parentaux de mort subite, • un statut diabétique, • un niveau élevé d’acides gras libres, • une CRP élevée, • une fréquence...

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