



L'activité physique : un traitement de plus du coronarien ?

Le Printemps de la cardiologie
Si les progrès thérapeutiques à la phase aiguë, qu’ils soient interventionnels ou médicamenteux (BASIC), ont considérablement amélioré le pronostic des patients après un syndrome coronarien aigu, la maladie coronarienne reste une maladie chronique et diffuse ; pour améliorer le pronostic à long terme, il est indispensable d’agir sur les facteurs de risque cardiovasculaires pour lesquels il existe à l’heure actuelle des traitements ayant fait la preuve de leur efficacité (dyslipidémies, diabète, hypertension artérielle). Mais l’expérience quotidienne nous apprend que les résultats des études d’intervention sont toujours moins bons que dans la « vraie vie » car des problèmes d’observance à long terme persistent. Cependant la plupart de ces facteurs de risque, bien qu’accessibles à des moyens non médicamenteux (activité physique, diététique ou arrêt du tabac) sont souvent difficiles à mettre en œuvre car ils nécessitent un changement de comportement des patients dans la durée.
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