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Rythmologie et rythmo interventionnelle

Publié le  Lecture 6 mins

Le risque thromboembolique de la fibrillation atriale : l'étude RELY

J.-Y. LE HEUZEY, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris

Comme chacun le sait, l’incidence de la fibrillation atriale croit rapidement, notamment du fait du vieillissement de la population. Chez les hommes comme chez les femmes, aussi bien pour les fibrillations paroxystiques que permanentes, cette incidence est en croissance. Il en résulte un nombre également croissant d’hospitalisations en rapport avec ce diagnostic, qu’il soit principal ou associé.
Les chiffres de projection américains envisagent une multiplication par un facteur 2,5 du nombre de cas de fibrillation atriale dans les années 2050. On sait que la moitié environ des coûts de traitement de la fibrillation atriale sont représentés par les hospitalisations. Parmi celles-ci figurent les hospitalisations pour accidents vasculaires cérébraux et pour accident hémorragique des anticoagulants.

Les facteurs de risque thromboemboliques sont maintenant bien connus, résumés par exemple par le score CHADS2, score sur 6 points avec insuffisance cardiaque (1 point), hypertension artérielle (1 point), âge supérieur à 75 ans (1 point), diabète (1 point) et accident vasculaire cérébral ou accident...

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