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Peut-on évaluer le risque de l'arrêt du traitement antiagrégant plaquettaire ?
G. CAYLA, J.-P. COLLET, Groupe Hospitalier Pitié-Salpêtrière, Paris

Environ 3 millions de français sont traités quotidiennement par de l’aspirine à faible dose et près de 1 million sont traités par clopidogrel dans le cadre de la prévention des complications de la maladie athérothrombotique. Si les recommandations sur l’utilisation de ces traitements au long cours manquent de niveau de preuve, en particulier sur la poursuite de la bithérapie au-delà de 1 an, toutes ont clairement souligné la nécessité de poursuivre une monothérapie indéfiniment.
La nécessité d’interrompre le traitement antiagrégant plaquettaire se pose fréquemment à l’occasion d’un geste invasif dans le but de prévenir les complications hémorragiques. Le risque d’événement thrombotique aigu n’est alors pas négligeable. Depuis l’arrivée des endoprothèses actives et la...
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