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Indicatons élargies mais pas infinies
Arnaud LAZARUS & David PERROT, Rédacteurs en chef
Longtemps restreinte à des patients avec fibrillation atriale symptomatique et récidivante malgré au moins un antiarythmique, l’ablation a vu son champ d’indications s’élargir, en parallèle des avancées technologiques.
Les procédures sont aujourd’hui plus rapides, plus efficaces et associées à un risque réduit, amenant à repenser notre approche. À tel point que la question qui vient maintenant à l’esprit est plutôt « Quels patients ne pas ablater ? ». En effet, il existe de mauvais candidats à l’ablation, dans une logique fondée sur les données cliniques et le bon sens médical consistant à ne proposer une thérapie interventionnelle que si elle est en mesure d’apporter un taux de réussite suffisamment élevé, avec à la clé un bénéfice pour le patient. Bonne lecture,
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