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Mise au point

Publié le  Lecture 5 mins

L’échographie endocoronaire

M. GILARD, Hôpital de la Cavale Blanche, CHU de Brest

Depuis plus de 50 ans, la coronarographie permet de diagnostiquer l’existence de sténoses coronaires, de les localiser et d’en apprécier la sévérité. Mais elle a plusieurs limites. Elle ne visualise que la lumière de l’artère à l’aide du produit de contraste. Elle donne une représentation bidimensionnelle de l’artère pouvant, malgré des incidences multiples, méconnaître une sténose excentrée. Elle analyse mal les vaisseaux sinueux, les bifurcations ou superpositions de vaisseaux, auxquels s’ajoutent les effets de distorsion radiologique. Enfin, elle n’apporte aucune information sur la structure de la plaque athéromateuse (aspect géométrique et composition) et l’état de la paroi artérielle.

L’échographie endocoronaire (IVUS, intravascular ultrasound) offre une image de haute résolution, en temps réel, de toute la paroi artérielle. Elle s’est développée depuis les travaux de N. Bom et son équipe en 1971 (1,2). Les premières images échographiques de vaisseaux datent des années 1980 (3)...

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