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Congrès et symposiums

Publié le  Lecture 7 mins

La voie radiale dans l’infarctus : pourquoi s’embêter ?

J. MONSEGU, Institut Mutualiste Montsouris, Paris

TUC

La prise en charge des syndromes coronariens aigus avec sus-décalage du segment ST nécessite une revascularisation coronaire de l’artère coupable la plus rapide possible. Que celle-ci soit pharmacologique avec une fibrinolyse ou mécanique avec une angioplastie primaire, cette prise en charge conduit obligatoirement en salle de cathétérisme soit pour le geste initial, soit pour un geste complémentaire. Le choix de la voie d’abord est donc au-devant de la scène, étant entendu que ces patients font l’objet de traitements antithrombotiques particulièrement agressifs avec a minima des anticoagulants associés à une double antiagrégation plaquettaire. La mise sur le marché des nouveaux inhibiteurs des récepteurs P2Y12 renforce le risque hémorragique qui est bien réel et tout doit être mis en jeu pour réduire ce risque, la voie radiale y trouvant toute sa place. 

Derrière la thématique proposée, sont posées 2 questions : - quelles sont les difficultés potentielles rencontrées lors de l'approche radiale ? - qu'apporte vraiment la radiale dans l'infarctus ? Le taux d’échec de la voie radiale reste peu élevé (de l’ordre de 1 à 2 %) dès lors que l’opérateur...

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