



Lésions de l’artère interventriculaire proximale - Quid des stents actifs ?

APPAC
Depuis le début des années 2000, tous les types de lésions (tronc commun, petits vaisseaux, longues lésions, bifurcations, occlusions, etc.) et de patients (diabétiques, syndromes coronariens aigus, pluritronculaires, etc.) ou presque, ont été randomisés, évalués, testés, et le plus souvent validés comme tirant un bénéfice clinique des stents actifs, principalement une réduction du risque de resténose et de réintervention.
Un sous-groupe de lésions fait cependant encore débat en France (et en France seulement) : les sténoses de l’interventriculaire antérieure (IVA) proximale. On peut se demander ce qui justifie cette exception et les débats passionnés qu’elle engendre entre les partisans de l’utilisation exclusive de stents nus et ceux prônant une utilisation des stents actifs dans les cas le permettant. Est-ce pour des raisons de manque d’efficacité ? De manque de sécurité ? D’absence de résultats cliniques ? Ou bien est-ce pour des raisons médico-économiques
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