



L'IRM dans l'évaluation du postinfarctus et de l'insuffisance cardiaque ischémique

Le Printemps de la cardiologie
Au décours d’un infarctus du myocarde, l’IRM permet une analyse précise des fonctions ventriculaires droite et gauche, globales et régionales, et le diagnostic des complications mécaniques. L’IRM de perfusion myocardique au premier passage permet de mettre en évidence les altérations de la microcirculation et de la perfusion tissulaire caractérisant le phénomène de no-reflow survenant après recanalisation de l’artère responsable de l’infarctus. L’imagerie de réhaussement tardif apprécie la viabilité myocardique et représente aujourd’hui l’examen de référence. L’évaluation de la réserve contractile sous dobutamine et l’analyse de la perfusion myocardique régionale sous adénosine, permettent de dépister une éventuelle ischémie myocardique résiduelle. Enfin, l’angiographie IRM des coronaires, bien qu’elle soit à ce jour moins performante que le scanner 64 barrettes, permet d’étudier la perméabilité de l’artère coupable.
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