



L’angioplastie rénale : un geste à oublier ?

Après la période d’engouement pour l’angioplastie des sténoses athéromateuses des artères rénales (SAR) du début des années 1990, l’échec des études cliniques contrôlées est venu tempérer notre enthousiasme. Le doute s’est définitivement installé dans la communauté médicale après la publication de l’étude ASTRAL(1), qui a montré des résultats négatifs et un taux de complications rédhibitoire (20 % de morbidité et 3 % de mortalité). Ces résultats sont loin du vécu des angioplasticiens habitués à ce geste… Nombreux sont les patients dilatés à en avoir tiré grand bénéfice et des taux de complications de type ASTRAL nous auraient depuis longtemps fait changer de métier… Comment expliquer cette situation paradoxale ?
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