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Technologies

Publié le  Lecture 6 mins

Leave less behind - Réduire l’empreinte métallique postangioplastie

Mehdi OUCHIHA, Hôpital Privé de la Casamance, Aubagne

Depuis la première angioplastie transluminale percutanée réalisée en 1977 par le Dr Andreas Grüntzig(1), la cardiologie interventionnelle, étapes après étapes, a révolutionné la revascularisation coronarienne en éliminant aujourd’hui le recours à la chirurgie.
Après des débuts prometteurs au ballonnet, cette technique s’est rapidement heurtée à des limitations, notamment les dissections occlusives, et surtout un taux élevé de resténose (30 à 40 %).
Face à ces défis, des progrès techniques s’imposaient.
En 1986, Ulrich Sigwart et Jacques Puel ont implanté le premier stent coronaire, le Wallstent(2). Ce dispositif a réduit les complications mécaniques immédiates, mais les stents métalliques nus ont montré leurs limites : un risque de thromboses précoces et de resténoses intrastent. Si les thromboses précoces ont été résolues par l’instauration de la double antiagrégation plaquettaire, les taux de resténoses intrastents dus à une hyperplasie intimale excessive, affectaient jusqu’à 30 % des patients.

Pour pallier ces limitations, les stents actifs (DES) de 1 re génération ont été introduits en 2002. Grâce à la libération de médicaments antiprolifératifs, ils ont significativement réduit le taux de resténose intrastent. Cependant, leur utilisation s’accompagnait de thromboses tardives, liées à la...

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