



Leave less behind - Réduire l’empreinte métallique postangioplastie

Depuis la première angioplastie transluminale percutanée réalisée en 1977 par le Dr Andreas Grüntzig(1), la cardiologie interventionnelle, étapes après étapes, a révolutionné la revascularisation coronarienne en éliminant aujourd’hui le recours à la chirurgie.
Après des débuts prometteurs au ballonnet, cette technique s’est rapidement heurtée à des limitations, notamment les dissections occlusives, et surtout un taux élevé de resténose (30 à 40 %).
Face à ces défis, des progrès techniques s’imposaient.
En 1986, Ulrich Sigwart et Jacques Puel ont implanté le premier stent coronaire, le Wallstent(2). Ce dispositif a réduit les complications mécaniques immédiates, mais les stents métalliques nus ont montré leurs limites : un risque de thromboses précoces et de resténoses intrastent. Si les thromboses précoces ont été résolues par l’instauration de la double antiagrégation plaquettaire, les taux de resténoses intrastents dus à une hyperplasie intimale excessive, affectaient jusqu’à 30 % des patients.
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