



Peut-on encore se passer de la FFR ?

Faisons un rêve : celui de ne revasculariser que les sténoses responsables d’une ischémie sans se tromper et de traiter et protéger les patients avec la juste attitude, sans angioplastie ni stents inutiles et potentiellement générateurs de complications. À défaut de rêve, voici l’objectif que tout cardiologue interventionnel a du moins en tête. C’est aussi la meilleure réponse à tous les détracteurs de la cardiologie interventionnelle pour lesquels nous ne sommes que des « ferrailleurs » d’artères ne répondant qu’à un réflexe oculo-sténotique. La FFR (réserve coronaire fractionnelle) apparaît aujourd’hui à côté du bon sens clinique comme une aide indispensable à une juste indication.
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