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Polémique

Publié le  Lecture 10 mins

Peut-on encore se passer de la FFR ?

P. DURAND, R. CADOR, Clinique Bizet, Paris

Faisons un rêve : celui de ne revasculariser que les sténoses responsables d’une ischémie sans se tromper et de traiter et protéger les patients avec la juste attitude, sans angioplastie ni stents inutiles et potentiellement générateurs de complications. À défaut de rêve, voici l’objectif que tout cardiologue interventionnel a du moins en tête. C’est aussi la meilleure réponse à tous les détracteurs de la cardiologie interventionnelle pour lesquels nous ne sommes que des « ferrailleurs » d’artères ne répondant qu’à un réflexe oculo-sténotique. La FFR (réserve coronaire fractionnelle) apparaît aujourd’hui à côté du bon sens clinique comme une aide indispensable à une juste indication.

Dans quel contexte a été développée cette technique ? L’étude FFR a été développée dans les années 1990 à une époque où l’on discutait de la nécessité d’implanter un stent systématiquement après angioplastie par ballon et où s’affrontaient les partisans du stenting systématique et ceux du stenting...

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