



Absorption des médicaments à visée cardiovasculaire après chirurgie bariatrique

La prévalence de l’obésité chez l’adulte en France est de 14,5 % selon l’enquête OBEPI et en progression depuis plusieurs décennies. L’obésité expose à un risque cardiovasculaire plus élevé (Framingham Heart study).
Face à cette épidémie, la chirurgie bariatrique est devenue une option à considérer dans l’arsenal thérapeutique, lorsque l’indice de masse corporelle (IMC) est ≥ 40 kg/m² ou ≥ 35 kg/m² avec des comorbidités associées, après échec d’une prise en charge médicale, nutritionnelle, diététique et psychothérapeutique bien conduite pendant 6 à 12 mois et avec une évaluation et une prise en charge préopératoires pluridisciplinaires.
Cette chirurgie est de plus en plus répandue dans le monde avec environ 25 000 interventions pratiquées chaque année en France. Les procédures les plus fréquentes en France regroupent les interventions restrictives : anneau gastrique ajustable (AGA), sleeve gastrectomie (SG) ; et mixtes, associant restriction et malabsorption : le bypass gastrique avec anse en Y (RYBG) et la dérivation bilio-pancréatique (DBP).
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