Aller au contenu principal
TwitterFacebookLinkedinPartager

Congrès et symposiums

Publié le  Lecture 9 mins

Lésions de l’artère interventriculaire proximale - Quid des stents actifs ?

O. VARENNE, J. ROSENCHER, F. BARBOU, Services de cardiologie, Hôpital Cochin et Hôpital du Val-de-Grâce, Paris


APPAC
Depuis le début des années 2000, tous les types de lésions (tronc commun, petits vaisseaux, longues lésions, bifurcations, occlusions, etc.) et de patients (diabétiques, syndromes coronariens aigus, pluritronculaires, etc.) ou presque, ont été randomisés, évalués, testés, et le plus souvent validés comme tirant un bénéfice clinique des stents actifs, principalement une réduction du risque de resténose et de réintervention.
Un sous-groupe de lésions fait cependant encore débat en France (et en France seulement) : les sténoses de l’interventriculaire antérieure (IVA) proximale. On peut se demander ce qui justifie cette exception et les débats passionnés qu’elle engendre entre les partisans de l’utilisation exclusive de stents nus et ceux prônant une utilisation des stents actifs dans les cas le permettant. Est-ce pour des raisons de manque d’efficacité ? De manque de sécurité ? D’absence de résultats cliniques ? Ou bien est-ce pour des raisons médico-économiques 

L’artère interventriculaire antérieure proximale L’IVA proximale est un segment artériel coronaire défini anatomiquement comme étant situé entre la distalité du tronc commun en amont et la naissance de la première branche septale en aval. Il s’agit d’un segment d’environ 1 cm de long généralement d...

Attention, pour des raisons réglementaires ce site est réservé aux professionnels de santé.

pour voir la suite, inscrivez-vous gratuitement.

Si vous êtes déjà inscrit,
connectez vous :

Si vous n'êtes pas encore inscrit au site,
inscrivez-vous gratuitement :