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Congrès et symposiums

Publié le  Lecture 8 mins

Les stimulateurs cardiaques sans sondes

P. DEFAYE, Unité de rythmologie et stimulation cardiaque, CHU de Grenoble


APPAC
Environ 750 000 stimulateurs cardiaques sont implantés par an dans le monde(1). Cette technologie améliore la qualité de vie et réduit la mortalité des patients à risque. Mais elle est associée à des complications non négligeables péri- et post-procédure. Dix pour cent des patients porteurs de stimulateurs cardiaques auront une complication au cours de leur suivi. Ces complications peuvent être liées au générateur (hématome, extériorisation, infection de loge) ou à l’accès veineux, mais également à la mise en place de la sonde (pneumothorax, tamponnade, déplacement de sonde).
À long terme, la sonde de stimulation cardiaque est considérée comme le maillon faible du système pouvant entraîner une thrombose veineuse, une rupture d’isolant ou du fil conducteur ainsi que des infections. Ces complications sont d’autant plus fréquentes que les patients ont des comorbidités. Elles vont impacter le bénéfice de la stimulation cardiaque sur le plan médico-économique.

L’idée de la stimulation sans sonde est apparue il y a plus de 40 ans. Les premières implantations d’un système finalisé ont eu lieu en Europe et particulièrement en France en 2013. Il s’agit des premières implantations humaines et donc d’un véritable tournant dans l’histoire de la stimulation...

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