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Précocité masculine de la maladie coronarienne : la faute au chromosome Y !
J.-P. USDIN, Hôpital américain de Paris, Neuilly-sur-Seine

Une variante particulière du chromosome Y, l’haplotype I, fréquemment retrouvée dans la population de l’Europe du Nord serait responsable d’un risque accru de maladie coronarienne.
Du fait de sa singularité, le chromosome Y a peu varié depuis sa forme ancestrale. On répertorie chez l’homme 20 haplotypes désignés par une lettre de A (Adam/Ancestral) à T (le plus récent dans l’arbre phylogénétique). Suivant les régions du globe, tel ou tel haplogroupe est plus fréquemment recensé.
Une grande première Une équipe australienne (1) s’est intéressée à l’association chromosome Y et maladie coronarienne, et plus particulièrement l’haplotype* « I » de l’ADN Y, fréquemment retrouvé dans la population britannique. « Why » DNA Y ? Les auteurs avancent les raisons principales suivantes...
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