



Effets cardiovasculaires des antidiabétiques oraux

Printemps de la cardiologie
Entre 1990 et 2010 aux États-Unis, le nombre d’infarctus du myocarde chez les diabétiques a régressé de près de 70 % et celui des AVC de plus de 50 %. Mais deux constats viennent ternir l’enthousiasme à l’égard de la prise en charge du diabète. Le premier est que les complications cardiovasculaires restent la première cause de décès dans cette population. Le second est qu’aucun traitement du diabète, n’a, à ce jour, montré un impact bénéfique sur le risque cardiovasculaire dans un essai prospectif randomisé de grande envergure. Ainsi, l’impact éventuel des hypoglycémiants oraux sur le risque coronarien ne peut être ignoré par le clinicien. Au-delà de la polémique sur la question du bénéfice cardiovasculaire conféré par un contrôle glycémique strict dans le diabète de type 2, il demeure important d’évaluer les effets cardiovasculaires de chaque classe d’antidiabétique afin d’orienter au mieux la stratégie thérapeutique.
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