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Coronaires

Publié le  Lecture 8 mins

Rôle de l'IRM dans la détection de l'ischémie myocardique

J.-N. DACHER(1,2), G. CAUCHOIS(1,3), L. POIDEVIN(1), V. LEFEBVRE(1), S. BEJAR(1), É. ELIE(1), J. CAUDRON(1), B. DUBOURG(1,2) - 1. Pôle Imagerie, Unité d’imagerie cardiaque, CHU de Rouen - 2. Inserm U1096, UFR Médecine-Pharmacie, Rouen – 3. Service de card

L’imagerie par résonance magnétique (IRM) pour la détection de l’ischémie myocardique reste en 2015 assez peu utilisée en France comparativement à son essor rapide chez nos voisins européens. Pourtant, dans la recommandation 2013 de l’ESC sur l’angor stable(1), l’IRM est reconnue comme équivalente aux tests classiques (scintigraphie, échocardiographie) chez le patient à probabilité prétest intermédiaire (15-85 %). Ce texte insiste sur l’importance de l’environnement local, de la disponibilité des équipements et des compétences. L’étude CE-MARC de Greenwood et coll. publiée dans le prestigieux Lancet va plus loin en montrant la supériorité diagnostique de l’IRM par rapport à la scintigraphie(2). Nul besoin de rappeler que l’IRM est beaucoup moins coûteuse que la scintigraphie, qu’elle ne délivre au patient aucune radiation ionisante, et ne génère aucun déchet radioactif.

IRM et stress ischémique Principe de l’examen Schématiquement, l’IRM va permettre d’analyser au cours de la même session (en 30 à 40 minutes) : - la fonction systolique biventriculaire ; - la perfusion de premier passage sous stress vasodilatateur ; - comparée à la perfusion de premier passage au...

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