



Rôle de l'IRM dans la détection de l'ischémie myocardique

L’imagerie par résonance magnétique (IRM) pour la détection de l’ischémie myocardique reste en 2015 assez peu utilisée en France comparativement à son essor rapide chez nos voisins européens. Pourtant, dans la recommandation 2013 de l’ESC sur l’angor stable(1), l’IRM est reconnue comme équivalente aux tests classiques (scintigraphie, échocardiographie) chez le patient à probabilité prétest intermédiaire (15-85 %). Ce texte insiste sur l’importance de l’environnement local, de la disponibilité des équipements et des compétences. L’étude CE-MARC de Greenwood et coll. publiée dans le prestigieux Lancet va plus loin en montrant la supériorité diagnostique de l’IRM par rapport à la scintigraphie(2). Nul besoin de rappeler que l’IRM est beaucoup moins coûteuse que la scintigraphie, qu’elle ne délivre au patient aucune radiation ionisante, et ne génère aucun déchet radioactif.
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