



Dégénérescence des bioprothèses

Bien que la chirurgie conservatrice prenne une part croissante, le remplacement valvulaire prothétique demeure la technique la plus fréquemment utilisée en chirurgie valvulaire, chez plus de 90 % des patients en position aortique et plus de 40 % en position mitrale d'après les grandes bases de données chirurgicales. La part des bioprothèses a progressivement augmenté par rapport aux prothèses mécaniques (figure 1), que ce soit en Europe ou aux États-Unis, en particulier avant 60 ans. Un nombre croissant de patients sera donc exposé au risque de dégénérescence primaire qui demeure le principal inconvénient des bioprothèses.
La dégénérescence des bioprothèses implantées chirurgicalement est mieux connue grâce à des séries rapportant leur suivi à long terme avec une méthodologie adaptée. Le recul est en revanche plus limité avec le TAVI.
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