



Le microbiote et les maladies cardiovasculaires : du laboratoire au chevet du patient

Les facteurs de risque cardiovasculaire traditionnels et une faible consommation de fruits expliquent la quasi-totalité des événements cardiovasculaires comme l’a montré l’étude INTERHEART. Cependant, un risque résiduel important persiste chez les patients contrôlés pour leurs facteurs de risque. L’identification du mécanisme qui relie la diététique, les facteurs de risque et le risque résiduel sont un enjeu majeur pour améliorer la prévention des maladies cardiovasculaires. Un candidat crédible est la relation entre l’hôte et son microbiote.
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