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Congrès et symposiums

Publié le  Lecture 5 mins

Patients coronariens : quelles solutions pour réduire le risque résiduel lié au LDL-C ?

Michèle DEKER, Paris

JESFC

Le registre CORONOR fournit un bon exemple du chemin à parcourir chez le patient coronarien stable pour diminuer le risque lié au LDL-C. Ce registre regroupe 4 184 patients inclus de 2010 à 2011 par des cardiologues dans le Nord-Pas-de-Calais à distance du dernier événement coronarien (≥ 1 an) et suivis durant 5 ans. Le taux de LDL-C moyen à l’inclusion était de 0,9 g/l ; un quart seulement des patients étaient à la cible de 0,7 g/l. Cette population de patients a été divisée en 3 groupes de LDL-C : > 1 g/l, 0,7-1 g/l et < 0,7 g/l. Le risque cardiovasculaire augmente significativement dès que le LDL-C est > 0,7 g/l ; la récidive d’infarctus est augmentée de 6 % pour chaque augmentation de 0,1 g/l de LDL-C.

Cibler le LDL-C plus fort et plus tôt Plusieurs modalités thérapeutiques permettent de réduire le LDL-C au-delà des statines : l’ézétimibe limite l’absorption digestive du cholestérol et a fait la preuve de son efficacité en ajout d’une statine de puissance modérée, en prévention au long cours des...

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