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Valvulopathies

Publié le  Lecture 7 mins

Rétrécissement aortique et maladie mitrale

Marjorie CANU, service de cardiologie, CHU de Grenoble

Bien que peu étudiées, les polyvalvulopathies, association d’au moins deux valvulopathies, sont fréquentes. Selon les données d’un registre européen de 2020, 9,7 % des patients adressés pour prise en charge d’un rétrécissement aortique (RA) serré avaient une insuffisance mitrale (IM) modérée à sévère associée et 2 % un rétrécissement mitral (RM) modéré à sévère(1).
La compréhension des interactions entre les différentes lésions valvulaires et la connaissance des principaux pièges diagnostiques est indispensable pour établir un diagnostic précis et une quantification fiable de la sévérité de chacune des valvulopathies, afin d’opter pour la stratégie thérapeutique adaptée à chaque patient.

• Étiologies L’association de deux valvulopathies organiques est classique dans certaines étiologies, telles que les valvulopathies post-rhumatismales, post-radiques, l’endocardite infectieuse ou les valvulopathies médicamenteuses. Aussi, le RA dégénératif s’accompagne souvent de calcifications...

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