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Études

Publié le  Lecture 4 mins

Focus sur l’étude OCEAN(a)-DOSE - Évaluation de l’intérêt d’une réduction de la lipoprotéine(a) par un ARN interférent (olpasiran)

Théo PEZEL, CHU Lariboisière, APHP (Paris)

Plusieurs études ont bien démontré que des niveaux élevés de lipoprotéine(a) [Lp(a)] sont une cause importante de maladie coronaire et d’autres formes de maladie cardiovasculaire d’athérosclérose (figure 1). En effet, des niveaux élevés de Lp(a) sont l’anomalie lipoprotéique la plus courante chez les hommes atteints de maladie coronaire avant l’âge de 50 ans et les femmes avant l’âge de 60 ans. Environ 20 % des personnes atteintes de maladie cardiovasculaire d’athérosclérose ont des niveaux élevés de Lp(a). Cependant, il n’existe actuellement pas de thérapies approuvées pour abaisser spécifiquement la Lp(a). En effet, le taux de Lp(a) ne change pas avec les statines et n’est pas affecté par l’ézétimibe.

Il est intéressant de noter que la Lp(a) peut diminuer chez certains patients traités avec un inhibiteur de PCSK9. De plus, il existe des données montrant que les patients qui ont connu une réduction de la Lp(a) avec le cholestérol LDL ont bénéficié davantage du traitement par l’inhibiteur de PCSK9...

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