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HTA

Publié le  Lecture 7 mins

Hypertension artérielle, un patient sur deux non contrôlé - Associations libres ou polypill ?

J. BLACHER, Hôtel-Dieu, Paris

CNCF

De nombreuses études dans la littérature médicale montrent qu’un bon contrôle tensionnel, à savoir la réduction de la pression artérielle systolique (PAS) en deçà de 140 mmHg, est associé à une moindre incidence de survenue de complications cardiovasculaires dans l’hypertension artérielle (HTA), à la fois coronaires et cérébrovasculaires. Ainsi, la récente étude INVEST confirme que les patients qui n’étaient pas contrôlés tout au long de l’essai thérapeutique avaient un surcroît de complications cardiovasculaires(1). Pourtant, les différentes études menées en population confirment que l’HTA n’est contrôlée au mieux que dans 50 % des cas. En revanche, dans les essais thérapeutiques, les investigateurs réussissent à contrôler une large majorité des hypertendus. Nous envisagerons donc les différentes raisons pour lesquelles ce qui semble possible dans les essais thérapeutiques semble si difficile en population, ainsi que les façons d’y remédier.

La part des thérapeutes dans le mauvais contrôle tensionnel Le médecin clinicien n’est pas dénue de responsabilité dans ces mauvaises statistiques puisque de nombreuses études ont montré que, trop souvent, lorsque le patient hypertendu n’était pas à l’objectif thérapeutique, il n’intensifiait pas...

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