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Cardiologie interventionnelle

Publié le  Lecture 7 mins

Faut-il recanaliser tardivement l'artère de l'infarctus lorsqu'elle est occluse ?

P.-G. STEG, hôpital Bichat-Claude Bernard, Paris

XVIes Journées européennes de la SFC

Depuis 20 ans, le modèle théorique qui préside au traitement de l’infarctus du myocarde (IDM) est qu’une recanalisation précoce de l’artère de l’infarctus permet d’obtenir une reperfusion myocardique et que celle-ci, si elle est obtenue précocement, est associée à une réduction de la taille de l’infarctus, une préservation de la fonction ventriculaire gauche et, ultimement, à une réduction de la mortalité.
Mais il existe, en outre, un ensemble d’arguments expérimentaux et cliniques pour espérer qu’une recanalisation tardive puisse être associée à un bénéfice clinique, même lorsqu’elle ne permet pas de réduction de la taille de l’infarctus.

Arguments en faveur d’une recanalisation tardive Les études descriptives du remodelage ventriculaire gauche postinfarctus ont montré, de façon concordante, que le remodelage est plus marqué lorsque l’artère de l’infarctus est totalement occluse. Cela est de plus corrélé à une altération plus sévère...

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