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Cardiomyopathies

Publié le  Lecture 12 mins

Myocardites et cardiomyopathies : pourquoi l'IRM ?

O. VIGNAUX, J.-N. DACHER, hôpital Charles Nicolle, Rouen C. MEUNE, hôpital Cochin, Paris et J.-P. LAISSY, hôpital Xavier-Bichat, Paris

Quatre catégories de cardiomyopathies ont été décrites : les cardiomyopathies hypertrophiques (CMH), les cardiomyopathies dilatées (CMD), les cardiomyopathies restrictives (CMR) et la dysplasie arythmogène du ventricule droit (DAVD).
Par ailleurs, il existe des cardiomyopathies spécifiques des maladies générales (sarcoïdose, amylose, hémochromatose etc.). À côté de ces formes chroniques, il existe également des cardiomyopathies aiguës, essentiellement représentées par les myopéricardites. Les principales indications ont été rappelées dans une récente mise à jour et dans le tableau ci-dessous. Sa lecture montre à l’évidence que l’IRM est sous-utilisée en France en pratique courante.

Protocole IRM Après avoir soigneusement expliqué au patient les contraintes de l’examen, lui avoir protégé les oreilles par un casque antibruit, avoir placé une antenne en réseau phasé sur la poitrine et vérifié la qualité de l’ECG, l’examen peut débuter par une banale séquence de repérage du cœur...

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