



Myocardites et cardiomyopathies : pourquoi l'IRM ?

Quatre catégories de cardiomyopathies ont été décrites : les cardiomyopathies hypertrophiques (CMH), les cardiomyopathies dilatées (CMD), les cardiomyopathies restrictives (CMR) et la dysplasie arythmogène du ventricule droit (DAVD).
Par ailleurs, il existe des cardiomyopathies spécifiques des maladies générales (sarcoïdose, amylose, hémochromatose etc.). À côté de ces formes chroniques, il existe également des cardiomyopathies aiguës, essentiellement représentées par les myopéricardites. Les principales indications ont été rappelées dans une récente mise à jour et dans le tableau ci-dessous. Sa lecture montre à l’évidence que l’IRM est sous-utilisée en France en pratique courante.
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