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Coronaires

Publié le  Lecture 8 mins

Prise en charge de l’infarctus du myocarde en 2011 - Que reste-t-il de la thrombolyse intraveineuse ?

J.-L. BONNET, G. BONNET, CHU Timone, Marseille

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La réponse à cette question peut être devinée à la lecture dès sa formulation. L’administration d’un agent fibrinolytique par voie intraveineuse (FIV) dans l’optique d’obtenir une reperfusion myocardique rapide est réservée aux situations pour lesquelles une désobstruction mécanique par intervention coronaire percutanée (angioplastie par ballonnet avec ou sans stent) dite primaire (ICP-I) ne peut être envisagée. En d’autres termes, l’ICP-I est en 2011 considérée comme étant la méthode de désobstruction coronaire la plus efficace dans la mesure où elle peut être pratiquée rapidement dans un centre de cardiologie interventionnelle d’excellence, fonctionnel 24 heures sur 24.

Au-delà de cette réponse laconique, il est souhaitable de rappeler ce que la thrombolyse a pu apporter dans la prise en charge de l’infarctus avec sus-décalage du segment ST (STEMI), permettant une meilleure compréhension de la physiopathologie de l’accident coronaire athérothrombotique occlusif et...

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