



Prolapsus valvulaire mitral : un diagnostic rigoureux est nécessaire

Le diagnostic de prolapsus valvulaire mitral n’est pas toujours aisé et celui de ballonisation mitrale ou de « valve myxoïde » est encore trop souvent posé en excès. L’avènement de l’imagerie d’harmonique permet actuellement une meilleure analyse du mécanisme de la fuite mitrale, mais paradoxalement, conduit plus souvent à des diagnostics faussés d’épaississement de valve mitrale. Or, si un diagnostic de « valve myxoïde », de « ballonisation » ou de « prolapsus valvulaire mitral » est posé, il implique une prise en charge spécifique (antibioprophylaxie, surveillance échocardiographique, etc.), et les personnes concernées portent l’étiquette de « valvulaires ». Il est donc essentiel d’exclure les « faux positifs », et bien sûr impératif de minimiser au maximum les « faux négatifs ».
Quels sont alors les critères échocardiographiques qui permettent à l’opérateur de limiter les risques d’erreur ?
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