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Valvulopathies

Publié le  Lecture 16 mins

Quoi de neuf dans l'évaluation et la prise en charge des valvulopathies ?

J.-L. MONIN, CHU Henri Mondor, Créteil

Comme chaque année à l’ESC, les sessions consacrées aux valvulopathies sont toujours aussi nombreuses et fréquentées. Cela s’explique probablement par la part croissante des valvulopathies dégénératives dans la pratique cardiologique quotidienne et par l’apparition récente de nouveaux outils diagnostiques (échographie 3D temps réel, 2D strain, échographie de stress, dosage des neuropeptides, etc.) et thérapeutiques (bioprothèses percutanées). Parmi les 17 abstracts sélectionnés cette année, on comptait de nombreuses études sur l’évaluation et le traitement du rétrécissement aortique calcifié (RAC), qui est actuellement la valvulopathie la plus fréquente en Europe, ainsi que la première indication de chirurgie cardiaque dans de nombreux centres. Nous parlerons également d’insuffisance mitrale fonctionnelle (ischémique), de l’intérêt des bioprothèses stentless, des effets cardiaques du MDMA (ou Ecstasy), de valvulopathies liées aux tumeurs carcinoïdes et, enfin, du mismatch, ou discongruence patient-prothèse, qui reste l’un des sujets les plus controversés actuellement.

Évaluation du rétrécissement aortique en 2007 Écho-Doppler cardiaque ou cathétérisme ? Indépendamment du risque inhérent à tout cathétérisme cardiaque, le franchissement d’un RAC expose au risque d’embolie cérébrale, estimé à 20 %, dont 3 % ayant une traduction clinique (1). Bien que l’écho-Doppler...

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