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Coronaires

Publié le  Lecture 4 mins

Durée optimale de séjour en USIC après un infarctus

Patrick HENRY, Hôpital Lariboisière, APHP, Paris

La création des USIC date de 1960, date à laquelle la défibrillation, d’abord à thorax ouvert (1947), puis la défibrillation externe (1956), a permis de sauver les patients atteints de troubles du rythme ventriculaire à la phase aiguë de l’infarctus du myocarde. Il faut rappeler à ce titre que l’intérêt des USIC n’a pas été tout de suite palpable, car les délais pour réaliser ces défibrillations étaient très longs (plusieurs dizaines de minutes). Les USIC ont ensuite servi à surveiller les troubles du rythme des infarctus du myocarde puis se sont progressivement diversifiées vers la rythmologie ou l’insuffisance cardiaque même si la pathologie coronaire reste la cause principale d’hospitalisation dans ces unités. Toutefois, les choses ont évolué et à l’ère de l’angioplastie primaire, le pronostic des infarctus s’est considérablement amélioré.

La crainte permanente des médecins en USIC est la survenue d’une mort subite, bien évidemment par trouble du rythme ventriculaire. De nouveaux challenges apparaîtront probablement dans le futur, comme c’est le cas aux États-Unis, ou les réadmissions précoces sont devenues un indicateur de mauvaise...

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