



Rythmologie et rythmo interventionnelle
L'ECG suffit-il à retenir l'indication d'une stimulation biventriculaire ?

En resynchronisation cardiaque par stimulation biventriculaire (BIV), l’électrocardiogramme (ECG) a été utilisé dès le début comme outil de sélection des patients, d’aide à l’implantation et d’évaluation des résultats. Actuellement, l’indication d’une stimulation BIV telle qu’elle est définie par les sociétés savantes américaines est : « un patient en classe III ou IV de la NYHA, avec une cardiopathie dilatée primitive ou ischémique de diamètre télédiastolique ventriculaire gauche (VG) ≥ 55 mm, une fraction d’éjection VG ≤ 35 % », et une désynchronisation marquée par un QRS > 130 ms, (REF). Mais après 10 ans de stimulation BIV, il semble que les paramètres électrocardiographiques soient progressivement sur le point de céder la place à des paramètres mécaniques et notamment à l’échographie cardiaque.
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