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Rythmologie et rythmo interventionnelle

Publié le  Lecture 7 mins

L'ECG suffit-il à retenir l'indication d'une stimulation biventriculaire ?

Ch. ALONSO, G. JAUVERT, A. LAZARUS, Ph. RITTER et S. CAZEAU, InParys, Saint-Cloud

En resynchronisation cardiaque par stimulation biventriculaire (BIV), l’électrocardiogramme (ECG) a été utilisé dès le début comme outil de sélection des patients, d’aide à l’implantation et d’évaluation des résultats. Actuellement, l’indication d’une stimulation BIV telle qu’elle est définie par les sociétés savantes américaines est : « un patient en classe III ou IV de la NYHA, avec une cardiopathie dilatée primitive ou ischémique de diamètre télédiastolique ventriculaire gauche (VG) ≥ 55 mm, une fraction d’éjection VG ≤ 35 % », et une désynchronisation marquée par un QRS > 130 ms, (REF). Mais après 10 ans de stimulation BIV, il semble que les paramètres électrocardiographiques soient progressivement sur le point de céder la place à des paramètres mécaniques et notamment à l’échographie cardiaque.

Historique Les mécanismes d’action exacts des effets de la stimulation multisite ne sont pas encore totalement établis. L’un des rôles de la stimulation BIV serait de corriger l’asynchronisme mécanique auriculo-ventriculaire, inter- et intraventriculaire, souvent présents dans les cardiopathies...

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